POLITIQUE DE TRAITEMENT DE PLAINTES ET DIFFÉRENDS

La présente politique s’inscrit dans le cadre des dispositions de la Loi sur la distribution de produits et services financiers (Québec) relativement au traitement des plaintes et au règlement des différends.

1.           But de la politique

Le but de la présente politique est de mettre sur pied une procédure de traitement équitable et gratuite de toutes les plaintes reçues par MSH International, ci-après appelé (« le cabinet »). Elle vise notamment à encadrer la réception d’une plainte, la transmission d’un accusé de réception, la constitution d’un dossier de plainte, la transmission à l’Autorité des marchés financiers (« l’Autorité ») et la compilation des plaintes en vue de la transmission d’un rapport semestriel à l’Autorité.

2.           Personne responsable

2.1         La personne responsable de l’application de la présente politique au sein de notre cabinet est Madame Ghada Darwish.

2.2         En tant que responsable de l’application de la politique, cette personne agit à titre de répondant auprès de l’Autorité et voit à la formation du personnel et à lui transmettre l’information pertinente en vue d’une application conforme de la présente politique.

2.3         Le responsable a aussi pour fonctions :

a)           de s’assurer de la transmission d’accusés de réception des plaintes;

b)           de transmettre le dossier à l’Autorité, sur demande du plaignant;

c)           de maintenir un registre des plaintes;

d)           de transmettre un rapport semestriel à l’Autorité.

3.           Plainte

3.1         Aux fins de la présente politique, cette plainte doit énoncer l’un des trois éléments suivants :

a)           un reproche à l’endroit du cabinet, d’un de ses courtiers ou d’un employé;

b)           l’identification d’un préjudice éventuel ou réel pour un consommateur;

c)           la demande d’une mesure correctrice.

3.2         Ne constitue pas une plainte la première manifestation d’une insatisfaction ou la démarche informelle d’un consommateur visant à faire corriger un problème particulier et qui peut être réglé par un des services du cabinet.

4.           Réception de la plainte

4.1         Le consommateur qui désire porter plainte doit le faire par courriel à l’adresse suivante: resolution_canada@msh-intl.com

4.2         Tout courtier ou employé du cabinet qui est saisi d’une plainte doit la transférer, dès sa réception, à son supérieur immédiat, sinon à la personne responsable de l’application de la présente politique.

4.3         La personne responsable accuse réception de la plainte dans les cinq jours ouvrables. L’accusé de réception doit contenir les informations suivantes :

a)           une copie de la présente politique;

b)           une description de la plainte reçue;

c)           le nom et les coordonnées de la personne responsable du traitement de la plainte;

d)           dans le cas d’une plainte incomplète, un avis mentionnant la nécessité de transmettre au responsable des informations complémentaires dans les cinq jours ouvrables, à défaut de quoi la plainte est réputée avoir fait l’objet d’un abandon;

e)           un avis au plaignant de son droit de demander, à l’expiration d’un délai de 15 jours ouvrables de la réception de tous les renseignements nécessaires et au plus tard dans l’année qui suit la réponse à sa plainte, le transfert de son dossier à l’Autorité, s’il est insatisfait de la réponse ou du traitement de sa plainte et que l’Autorité peut offrir la médiation si les parties y consentent;

f)            une mention au plaignant indiquant que la médiation est un processus de résolution à l’amiable d’un conflit par lequel une personne intervient auprès des parties pour les aider à parvenir à un accord satisfaisant.

5.           Constitution du dossier de la plainte

5.1         Toute plainte reçue doit faire l’objet d’une ouverture de dossier distinct.

5.2         Le dossier doit comprendre les éléments suivants :

a)           la plainte du plaignant, comprenant l’un des trois éléments d’une plainte (le reproche à l’endroit du cabinet, du courtier ou de l’employé, le préjudice réel ou éventuel et la mesure correctrice demandée);

b)           le résultat du processus de traitement de la plainte (l’analyse et les documents de soutien);

c)           une copie de la réponse finale et motivée du cabinet qui a été transmise par écrit au plaignant.

6.           Traitement d’une plainte

6.1         À la réception d’une plainte, la personne identifiée au paragraphe 4.2, son supérieur immédiat et le responsable du traitement des plaintes effectuent une enquête.

6.2         Le traitement de la plainte doit être effectué dans un délai de 15 jours ouvrables après la réception de tous les renseignements nécessaires.

6.3         À l’issue de l’enquête, le responsable transmet au plaignant la réponse finale écrite et motivée du cabinet.

7.           Transmission du dossier à l’Autorité

7.1         Lorsque le plaignant n’est pas satisfait de l’examen de sa plainte par le cabinet ou du résultat de cet examen, il peut demander au cabinet de transférer son dossier de plainte à l’Autorité.

7.2         Ce droit ne peut être exercé par le plaignant qu’à l’expiration du délai de 15 jours ouvrables prévu pour obtenir une réponse finale ou au plus tard un an après cette réponse.

7.3         Le dossier transféré à l’Autorité est constitué de l’ensemble des pièces relatives au dossier de plainte.

8.           Création et maintien d’un registre

8.1         Le cabinet établit un registre des plaintes aux fins de l’application de la présente politique. Sa mise à jour incombe à la personne responsable.

8.2         Doit être inscrite à ce registre toute plainte formulée et correspondant à la définition de l’article 3.

9.           Rapport semestriel

Dans le mois suivant le 31 décembre et le 30 juin de chaque année, la personne responsable transmet à l’Autorité un rapport faisant état du nombre et de la nature des plaintes reçues au cours des six mois précédents selon les catégories définies dans le registre mis en place.

10.         Avis aux courtiers et aux autres employés du cabinet

Le responsable veille à ce que les courtiers et autres employés du cabinet prennent connaissance de l’énoncé de politique de traitement des plaintes et de règlement des différends et en aient un exemplaire.

11.         Entrée en vigueur

La présente politique est entrée en vigueur le 22 septembre 2020.

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Ne rentrez pas à la maison trop vite à cause du mal du pays

10 conseils pour bien s’adapter à d’autres cultures

Vous avez eu l’audace de déménager à l’étranger. Vous saviez que la vie y serait différente, mais chaque jour des petits détails vous étonnent. Le bleu profond de l’océan qui vous accompagne quand vous vous rendez au boulot en voiture. Le merveilleux parfum des repas que cuisine votre voisine. Le bavardage des gens qui font des achats dans une langue que vous ne comprenez pas. Et une expérience pas trop agréable : votre premier épisode de mal du pays.

Eh oui, parmi les surprises, il y en a des bonnes et des mauvaises! S’ennuyer de chez soi arrive inévitablement quand on vit loin de son pays, mais il y a des façons de s’assurer que ces moments ne sont pas trop pénibles et durent trop longtemps. Si vous ne tenez pas à boucler vos valises et à rentrer au bercail beaucoup plus tôt que prévu, mettez à l’essai les conseils ci-dessous!

  1. Restez en contact avec vos proches, mais pas à outrance. Quand vous partez à l’autre bout du monde, il est toujours bon d’éviter de disparaître totalement. Mais il importe aussi de couper les liens qui vous empêchent d’embrasser entièrement votre nouvelle vie. Appeler des parents inquiets chaque jour pour les tenir au courant est trop coûteux. Et pas très sain. Communiquer avec l’ex est une garantie d’avoir le mal du pays. Espionner les pages Facebook de vos amis ne pourra que vous faire regretter ce que vous manquez à la maison. Mais envoyer de vos nouvelles par courriel toutes les deux semaines à vos amis et aux membres de votre famille ou créer un blogue est un excellent moyen de rester en contact et de partager vos nouvelles expériences avec les gens dont vous vous ennuyez.
  2. Explorez votre nouveau chez-vous. Rien n’est plus rebutant que se sentir comme un étranger chez soi. Se perdre pendant son jogging matinal ou avoir à demander son chemin pour aller à l’épicerie n’a pas de quoi mettre en confiance. Même s’il y aura inévitablement une période pendant laquelle vous devrez vous familiariser avec votre nouvel environnement, vous pouvez éviter que la frustration dure longtemps en réservant des moments à l’exploration du quartier ou de la ville avant d’avoir vraiment besoin de savoir où vous allez. Une carte faite maison est une façon pratique de demeurer bien orienté. Prenez note du trajet que vous empruntez au fil de vos déplacements quand vous sortez. Vous pourrez ainsi non seulement rentrer chez vous, mais aussi avoir un plan des itinéraires que vous utiliserez fréquemment.
  3. Apprenez la langue, ou au moins quelques phrases clés. Même si on peut considérer que l’anglais a une portée universelle, ce n’est pas tout le monde qui le parle. Et surtout, vous ne devez pas vous attendre à ce que les gens de votre pays hôte parlent cette langue. C’est donc une excellente idée de suivre un cours de langue avant de partir. Des leçons pour débutant ne vous permettront pas de parler couramment une autre langue, mais vous partirez avec une bonne base et pourriez même savoir utiliser des phrases importantes (ex. « Où sont les toilettes? ») qui vous permettront de vous débrouiller. Si vous avez décidé à la dernière minute de partir outre-mer, vous pourriez ne pas avoir le temps de suivre un cours. Alors, parez au plus pressé en achetant un livre sur la langue ou un dictionnaire, ou encore trouvez une personne en échange linguistique avec laquelle vous pourrez pratiquer un peu.
  4. Gardez l’esprit ouvert. Essayez de nouvelles choses. Si vous prévoyez de passer l’année qui vient à étudier en Europe, enseigner le français en Asie ou faire du bénévolat en Amérique du Sud, la pire chose serait de passer vos samedis après-midis là-bas au Starbucks ou de manger tous vos repas chez McDo (eh oui, les entreprises multimillionnaires sont presque partout de nos jours!). Contrairement à ce qu’on dit souvent, il est plus difficile qu’on croit d’abandonner ses vieilles habitudes. Soyez  simplement ouvert au changement. Vous mettez de la crème et du sucre dans votre café? En Italie, essayez quand même de boire de l’espresso. Vous pensez détester le poisson cru? Vivre au bord de la mer au Japon vous fera changer d’avis. Il vous faut absolument une douche chaude? Si vous allez en Thaïlande, vous découvrirez que ce n’est pas si important. Bref, il suffit d’être prêt à sortir de votre zone de confort!
  5. Suivez vos traditions – avec quelques ajustements. Rien n’est plus susceptible de déclencher le mal du pays qu’être loin de chez soi pendant l’un de nos congés préférés. Si vous êtes dans un pays où l’on ne célèbre pas l’Action de grâces ou que Noël y ressemble à des « fêtes sur la plage », vous pourriez penser avec nostalgie au bon vieux temps des Fêtes. Regarder en solo de vieilles photos et se rappeler des traditions familiales ne pourront que déclencher une crise de larmes. Mais reprendre ces traditions en les adaptant à votre environnement actuel et les partager avec les gens du coin est une façon de les garder vivantes et de vous assurer d’être entouré de personnes qui vous tiennent à cœur. Vous éviterez ainsi d’avoir le cafard, et vous transmettrez vos traditions à un tout nouveau groupe de gens – très pratique si vous comptez rester là-bas un an de plus.
  6. Restez ancré dans la réalité. Vivre hors de son pays provoque souvent une sensation d’« irréalité », car cela ressemble parfois à de longues vacances plutôt qu’à la vraie vie. Un sentiment que rien ne porte à conséquence peut pousser des gens raisonnables à agir de façon moins responsable que dans leur propre pays. Votre paie peut sembler être de l’argent facile à faire et vous pousser à trop dépenser et à accumuler une forte dette de crédit. Et les rendez-vous amoureux en série deviennent un remède rapide et facile à la solitude. Il y a juste un problème : un cœur brisé peut être la source de nombreux sentiments négatifs, et même susciter l’envie de rentrer au pays plus tôt que vous l’auriez espéré.
  7. Faites-vous des amis sur place. Il n’y a rien de pire que d’avoir pour amis des gens qui nous quittent les uns après les autres. C’est malheureusement ce qui arrive souvent quand on se lie d’amitié avec d’autres expatriés. La meilleure façon de ne pas perdre tous ses amis d’un seul coup est de fréquenter des gens du pays – ils ne partiront certainement pas! Et vous savez quoi? Ils pourraient faire de meilleurs amis que les travailleurs étrangers ou les étudiants venus d’ailleurs qui se sont adaptés à un mode de vie temporaire. Vous vous sentirez sans doute un peu seul après avoir perdu des amis issus de divers pays. Mais le fait d’avoir un groupe d’amis locaux pour vous soutenir après leur départ sera un excellent antidote contre le mal du pays.
  8. Prenez du temps pour vous. Même si vous prenez plaisir à explorer votre nouveau pays et qu’il importe de se lier avec la population locale et de se familiariser avec ses traditions, il est aussi essentiel de prévoir des moments de repos pour ne pas se sentir submergé par tout cela. Si vous prenez l’habitude d’occuper chaque minute de votre temps, vous trouverez votre première journée passée en solo plus pénible qu’un empoisonnement alimentaire. Intégrez à votre horaire habituel des journées « personnelles » aussi bien que des journées de fréquentations sociales, et vous courrez moins de risques de souffrir du mal du pays quand vous vous retrouverez seul.
  9. Posez des questions et racontez votre propre vie. Il ne faut pas se montrer introverti quand on vit à l’étranger. Faire preuve d’une saine curiosité en allant voir les gens pendant des réceptions, des festivals ou même à l’épicerie, et poser les bonnes questions vous aidera à tisser des liens avec les habitants du pays d’accueil et à développer une connexion plus profonde avec ce qui vous entoure. Assimilez toute l’information possible, mais n’oubliez pas de raconter d’où vous venez. Rappelez-vous que dans bien des pays, la vision de la culture nord-américaine est celle véhiculée par les films hollywoodiens; décrire aux gens à quoi ressemble vraiment le Canada est une expérience éclairante aussi bien pour celui qui écoute que pour celui qui raconte! Entreprendre ce type de dialogue est un excellent moyen de combattre la nostalgie causée par le choc culturel.
  10. Adoptez un nouveau passe-temps ou joignez-vous à un club local. Adopter un passe-temps en lien avec la culture du pays d’accueil est un excellent moyen de susciter un sentiment d’appartenance. C’est remarquable à quel point le fait de pratiquer un sport local, d’être bénévole pour un festival communautaire ou de prendre des cours de langue peut vous donner le sentiment de contribuer à quelque chose d’important! Se sentir lié à une communauté, à un groupe d’amis ou même à une famille improvisée peut être l’antidote idéal contre le mal du pays. Alors qu’attendez-vous? Inscrivez-vous à ce fameux groupe communautaire ou à ce cours de langue dès maintenant!

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Francophones, vous êtes chez vous partout au Canada!

Tout le monde sait que le Canada a deux langues officielles. Les panneaux de signalisation, l’emballage des produits et les guides d’utilisation nous aident en français et en anglais. Mais si vous ne vivez pas au Québec ou dans la péninsule acadienne, vous êtes entouré d’une plus grande proportion d’anglophones, ce qui peut parfois vous donner une impression d’isolement.

Mais détrompez-vous : il y a des francophones dans toutes les régions du pays. Bien que la plupart vivent au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick, il y en a partout. En fait, selon le recensement de 2011, la population francophone en Alberta et en Colombie-Britannique est en progression! (Pour obtenir de plus amples renseignements sur les francophones au Canada, cliquez ici.)

Alors, que faire si vous vous installez dans une nouvelle région et souhaitez rencontrer d’autres francophones? Le gouvernement du Canada met d’excellentes ressources à votre disposition. Visitez ce site et cliquez sur la province de votre destination. On vous indiquera des sites d’organismes francophones qui pourront vous aider à vous installer ou à entrer en contact avec d’autres francophones de votre région.

Alors, voyageurs francophones, avez-vous songé à faire du Canada votre prochaine destination?

 

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Nouvellement arrivé au Canada? Voici 10 activités à faire cet été

Quel hiver! Neigeux et froid, interminable… Naturellement, vous ne pensez qu’à une chose : les beaux jours d’été, bien sûr! Pour les étudiants internationaux qui étudient au Canada, l’été est le moment idéal de visiter ce beau grand pays et d’apprendre à le connaître. Le beau temps nous incite à sortir de la maison, de la ville ou même de la province et à profiter du soleil.

Vous êtes nouvellement arrivé au Canada? Vous planifiez déjà vos activités estivales? Ingle International a dressé une liste d’activités à faire d’un océan à l’autre. Voici notre palmarès des 10 choses à voir et à faire cet été!

1. Savourez l’ambiance de la Vieille Capitale. Les magnifiques bâtiments de la vieille ville font de Québec la destination romantique par excellence. Ah, l’amour!
2. Respirez l’air pur des montagnes.Lake Louise, en Alberta, offre des paysages magnifiques, des vues à couper le souffle et des auberges typiquement canadiennes.
3. Admirez le soleil de minuit. Si vous visitez les Territoires du Nord-Ouest pendant l’été, soyez prêt à passer des nuits blanches.
4. Apprenez une langue peu connue. Les Terre-Neuviens parlent un patois issu de l’anglais, de l’irlandais et du français. Amusez-vous à essayer de les comprendre!
5. Rendez-vous sur la plus grande île en eau douce du monde. Si vous êtes en Ontario, vous pouvez vous rendre sur l’île Manitoulin en voiture (par le nord) ou en traversier (par le sud).
6. Régalez-vous de notre mets national.. Créé au Québec en 1957, la poutine est un délicieux mélange de frites, de fromage en grains et de sauce.
7. Découvrez la ville natale de Winnie l’ourson. Eh oui, Winnie est originaire de Winnipeg, au Manitoba! (Mais son histoire a pris naissance au zoo de Londres.)
8. Visitez la maison d’Anne aux pignons verts. Prenez l’avion pour vous rendre dans la plus petite province canadienne, l’Île-du-Prince-Édouard, et allez voir où a grandi la petite rouquine.
9. Participez à un pow-wow. Imprégnez-vous de la culture et de l’histoire amérindiennes au pow-wow Kamloopa (accessible en anglais seulement) en Colombie-Britannique, où l’on présente pendant trois jours des légendes, des chants et des danses des Premières Nations.
10. Tombez sous le charme… des chutes du Niagara! Saviez-vous que la portion canadienne des chutes est deux fois plus grande que la portion américaine?

Tant de possibilités, si peu de temps! Si vous êtes toujours indécis, concentrez-vous sur la région où vous vous trouvez. Le Canada est très grand et il faut autant de temps pour le traverser en avion, de la Colombie-Britannique à l’Île-du-Prince-Édouard, qu’il en faut pour aller outre-mer (8 longues heures). Choisissez parmi les 10 endroits proposés celui qui vous convient, en tenant compte du temps dont vous disposez, de vos moyens et, surtout, de vos intérêts.

Bonnes vacances, bon voyage, et bien sûr n’oubliez pas votre carte d’assurance Ingle!

 

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Voyages : Dix bonnes résolutions à prendre (à bas les « bucket lists! »)

En quoi une résolution du Nouvel An diffère-t-elle d’une intention incluse dans sa liste ultime de choses à faire avant de mourir? Eh bien, une résolution vise habituellement à faire de vous une meilleure personne, tandis que la liste (interminable) de vos souhaits ultimes requiert que vous les réalisiez… avant de passer l’arme à gauche! Dresser la liste de vos envies traduit une volonté de profiter à plein de la vie, mais ce n’est peut-être pas la façon idéale de découvrir le monde. Voulez-vous passer en coup de vent dans Paris, en cochant frénétiquement sur votre liste tous les sites touristiques « incontournables » que vous visitez? N’aimeriez-vous pas mieux profiter du moment en sirotant un café crème, savourer ce qui vous entoure et échanger avec la population locale? Tenez‑vous vraiment à faire le long voyage jusqu’en Chine juste pour vous faire photographier devant la Grande Muraille, ou voudriez-vous plutôt consacrer un an et demi à découvrir les contrées qui bordent le plus long mur du monde (accessible en anglais seulement)?

Un simple touriste peut prétendre que le seul et unique but des vacances est de se faire plaisir, mais le vrai voyageur considère que l’intérêt de quitter son pays (ou sa ville!) consiste plutôt à se donner l’occasion d’observer, d’apprendre, d’explorer et de grandir en tant qu’être humain. Car voyager, c’est souvent revenir chez soi avec une vision de la vie nouvelle ou transformée – pas juste avec un beau bronzage ou des timbres tamponnés dans son passeport. Vous ne voulez plus être un simple « touriste »? Vous êtes déjà un voyageur chevronné mais vous visez encore mieux? Les dix résolutions qui suivent devraient vous permettre de commencer à voyager comme un pro.

 

Cette année, je vais…

  1. visiter un lieu où je ne suis jamais allé auparavant (que ce soit une ville à une heure de chez moi ou un pays à l’autre bout du monde);
  2. m’inscrire à un cours de langue;
  3. m’intéresser à une vision de la vie différente de la mienne;
  4. essayer de réduire mon empreinte carbone;
  5. goûter à au moins un aliment nouveau (aussi peu appétissant soit-il selon ce que je vois ou qu’on me dit!);
  6. interroger les gens du lieu visité sur leurs coutumes, leurs règles de vie et les lois de leur pays;
  7. me mettre au défi d’essayer quelque chose de nouveau qui sort de mon ordinaire;
  8. me tenir au courant de ce qui se passe dans le monde;
  9. me montrer ouvert et laisser de côté mes préjugés ou les vieux stéréotypes;
  10. être un voyageur futé.*

*Comment être un voyageur futé?

  • apporter ses médicaments (dans leur contenant d’origine) avec l’ordonnance qui s’y rattache
  • conserver son argent, ses cartes de crédit et ses pièces d’identité dans un endroit sûr
  • voyager léger; laisser les biens coûteux (accessible en anglais seulement) à la maison
  • s’informer sur les vaccins nécessaires deux mois avant de partir
  • surveiller les avis aux voyageurs et les avertissements de sécurité
  • acheter avant le départ l’assurance voyage qui convient

Psst! Quelle résolution voyage avez-vous prise cette année?

Saisissez-la dans la zone de texte ci-dessous!

 

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Un souffle du passé : L’histoire de Roya

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Chers lecteurs,

Le temps des Fêtes s’approche, et l’esprit de la saison pousse bon nombre d’entre nous à la réflexion. Dans mon cas, le nom de Roya, cette courageuse fille afghane, me vient à l’esprit. Elle rêvait de suivre ses études; mais le rêve s’est transformé en cauchemar lorsque le taliban a tué son père. Elle a dû par la suite lutter pour sa survie. Il me semble être le bon moment de l’année pour attirer l’attention sur son parcours. Grâce aux dons versés par de nombreux Canadiens, elle a pu venir à notre pays en janvier 2012 pour poursuivre ses études au Collège Ashbury à Ottawa. Voilà presque deux ans qu’elle s’y est installée, et notre héroïne se porte très bien. Depuis son arrivée au Canada, Ingle International lui offre une couverture avec son assurance voyage pour les étudiants étrangers, s’engageant à payer la totalité de la prime.

Nous sommes fiers de poser ce simple geste et espérons qu’il saura contribuer à la santé et au bien-être de cette brave fille. Souhaitez-vous l’aider à lutter pour le droit des filles à l’éducation? Faites un don en cliquant ici (accessible en anglais seulement).

—Kathleen O’Hagan

 

L’histoire de Roya – comment une jeune fille qui osait rêver a profondément touché le personnel d’Ingle

Date de publication originale : 2012/06/01

De nombreux Canadiens se souviennent de l’histoire de cette jeune Afghane dont la vie était chaque jour menacée parce qu’elle rêvait d’étudier et de faire plus tard de la politique. Dans ce pays où les femmes n’ont pratiquement aucun droit, lutter pour le droit des filles à l’éducation peut être mortel. Le père de Roya a lui-même subi le sort qu’on réserve là-bas aux personnes qui prônent des idéaux jugés « dangereux ». Roya, elle, a survécu.

La première fois que j’ai lu un article au sujet de Roya (accessible en anglais seulement), j’ai été impressionnée par la détermination et la résilience de cette jeune fille face à une situation aussi difficile. J’ai été peinée d’apprendre que son père avait été tué, mais j’avais espoir qu’elle survive et continue de lutter pour les droits des femmes dans son pays.

L’histoire de Roya m’a clairement émue, mais elle a aussi touché de nombreux Canadiens, nouveaux immigrants et étudiants étrangers d’un océan à l’autre. Grâce en partie à leurs encouragements et leur soutien (accessible en anglais seulement), Roya est maintenant au Canada, où elle est libre de poursuivre ses études en sécurité.

 

Comment est-ce que tout cela a commencé? Qui l’a aidée tout le long de son parcours?

  • Le chroniqueur du Toronto Star Paul Watson a été le premier à agir. Il a d’abord fait connaître l’histoire de Roya en écrivant des articles à son sujet jusqu’à ce qu’elle devienne bien connue chez nous; il a ensuite entrepris de la faire venir au Canada.
  • Le Collège Ashbury a ensuite pris le relais. Inspiré par l’histoire de Roya, le directeur du collège a accepté de lui donner la possibilité de poursuivre ses études gratuitement et en sécurité dans la capitale du Canada.
  • Quant à moi, j’ai décidé d’agir après avoir lu son histoire et en avoir discuté avec ma collègue Monica Aguirre, chef du service des Étudiants internationaux chez Ingle International. Le chef de la direction, Robin Ingle, et le vice-président Brian Cox se sont rapidement joints à nous et ont accepté d’offrir à Roya l’assurance maladie et les services de soins de santé dont elle aurait besoin pendant son séjour – entièrement aux frais de notre société.

Il allait de soi qu’Ingle se joint au nombre grandissant de personnes prêtes à aider. Chez Ingle International, nous savons ce que c’est de devoir s’adapter à un nouveau pays. Certains d’entre nous ont étudié à l’étranger, d’autres ont travaillé à l’étranger et bon nombre d’entre nous sont même nés à l’étranger! Ensemble, nous parlons 27 langues, nous avons l’habitude du dialogue interculturel et nous adhérons au principe de la collectivité mondiale. Ayant nous-mêmes dû surmonter les difficultés de la vie dans un nouveau pays, nous avons voulu contribuer à rendre l’adaptation de Roya au Canada un peu plus facile, en lui offrant une assurance maladie qui lui procurerait la tranquillité dont elle avait besoin.

Récemment, l’histoire de Roya a de nouveau fait les manchettes. J’ai été heureuse d’apprendre qu’elle était maintenant au Canada depuis deux mois (accessible en anglais seulement) et encore plus de savoir que de plus en plus de Canadiens ont décidé de l’aider (accessible en anglais seulement). La fondation Roya a amassé jusqu’à présent plus de 25 000 $ et des élèves de toutes les régions du pays ont donné et recueilli des fonds pour elle. Dans ce vaste pays qu’est le Canada, des gens se sont concertés pour veiller sur Roya pendant qu’elle est éloignée de sa famille et de ses amis.

Roya a été brave de venir au Canada et elle a eu raison de se soucier du coût des soins de santé. Pour les étudiants internationaux qui étudient au Canada, l’assurance voyage n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Ces étudiants ont besoin d’une protection couvrant de multiples risques – par exemple, les blessures subies en pratiquant un sport, les frais médicaux engagés pendant un séjour à l’extérieur du Canada, les soins de santé mentale ou encore les médicaments d’ordonnance – et la plupart n’ont pas les moyens de s’en passer. Bien que notre régime universel d’assurance maladie soit connu dans le monde entier, ce régime ne couvre que les Canadiens. Les étudiants internationaux et les visiteurs au Canada doivent donc prévoir le coût des soins de santé pendant leur séjour ici, du simple bilan de santé aux frais médicaux d’urgence. Au Canada, une consultation médicale peut coûter jusqu’à 300 $ et une hospitalisation d’une seule nuit 5 000 $. Inutile de dire que la note peut grimper très vite. Pour éviter de devoir payer des frais médicaux astronomiques, il suffit de souscrire la bonne assurance voyage avant de quitter son pays d’origine.

Mais ce n’est pas donné. La couverture d’un étudiant étranger pendant un an peut coûter 1 000 $. Dans le cas de Roya, Ingle a payé le coût de sa couverture pendant son premier semestre au Collège Ashbury (de janvier à juin). Nous prévoyons renouveler sa protection quand elle reprendra ses études en septembre 2012.

Roya, laisse Ingle s’inquiéter pour ta santé. Tu as des problèmes bien plus importants à régler… comme lutter pour le droit des filles à l’éducation dans ton pays.

 

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Célébrer, favoriser et préserver les relations entre les générations

Novembre – le conseil du mois

Le 11 novembre, jour du Souvenir, constitue l’occasion idéale d’avoir une pensée non seulement pour ceux qui ont servi autrefois ou servent aujourd’hui dans l’armée, mais aussi pour toutes les personnes qui comptent dans notre vie. L’image souvent associée au jour du Souvenir est celle des anciens soldats qui ont combattu lors des deux guerres mondiales et pendant la guerre de Corée, mais des milliers d’hommes et de femmes de tous âges font aujourd’hui partie du personnel militaire du Canada. Même si le Canada joue un rôle de gardien de la paix dans le monde, ses soldats sont souvent déployés dans des zones de conflit armé à l’étranger. À leur retour au pays, il en découle des répercussions à long terme pour eux comme pour les membres de leur famille immédiate et de leur famille élargie ainsi que pour leurs amis. Le mois de novembre est donc un bon moment pour réfléchir à l’importance de toutes les relations qui font partie de notre vie et pour mieux apprécier celles que nous négligeons souvent.

Les gens plus âgés que nous connaissons ont sur nous une emprise plus grande que nous pourrions le croire. Nos parents, grands-parents, oncles et tantes, et notre réseau élargi de parents et d’amis ont une profonde influence sur notre manière de penser, d’agir, de réagir et de nous occuper d’autrui. Des recherches montrent que les gens qui bénéficient de relations bien développées, notamment de liens multigénérationnels, ont moins tendance à souffrir de dépression et de dysphorie, profitent mieux de la vie et vivent peut-être même plus longtemps. Les gens ont besoin de leurs semblables. Le clan, la tribu, le groupe sont à la base de notre culture. Nous avons évolué en prenant soin les uns des autres et en tirant des leçons des erreurs d’autrui.

On ne compte plus les articles et les livres qui insistent sur l’importance d’avoir des gens plus âgés dans son entourage. Si vous n’avez pas de tantes, d’oncles ou de grands-parents, il existe bien des façons d’entrer en contact avec les générations antérieures au sein de votre communauté. Le bénévolat est un excellent point de départ, car les établissements pour les aînés, les centres de soins de longue durée, les hôpitaux, les églises et les centres communautaires ont besoin d’un soutien local pour susciter un rapprochement entre des gens d’âges divers.

Pour nous enrichir du savoir des gens plus âgés qui nous entourent, il suffit de poser des questions, de partager des souvenirs et de raconter des histoires. Chaque génération est persuadée d’être la meilleure, mais en fait nous avons tous beaucoup à apprendre des gens qui nous ont précédés. Et à l’égard de nos soldats, toutes générations confondues, notre dette est grande.

Alors, prenez un moment pour vous souvenir ce mois-ci… et pour tisser des liens qui pourraient transformer positivement votre vie.

 

Le conseil du mois d’Ingle est fourni par P. Lloyd, directeur des Services cliniques, Novus Santé (membre du groupe de sociétés du Groupe Ingle).

 

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Fiche d’information sur le super visa

super visa

Depuis le 1er décembre 2011, les parents et grands-parents de citoyens canadiens et de résidents permanents du Canada peuvent rester en visite au Canada pendant une période d’au plus deux ans grâce au « super visa » pour parents et grands-parents. Vous trouverez ci-après des renseignements sur le processus de demande et les conditions d’admissibilité au super visa, qui sont basés sur le site Web de Citoyenneté et Immigration Canada.

 

Qui peut présenter une demande

  • Le parent ou le grand-parent d’un citoyen ou d’un résident permanent du Canada
  • La personne doit être déclarée admissible au Canada
  • *Certaines conditions additionnelles peuvent être exigées

*Consulter Citoyenneté et Immigration Canada pour obtenir des précisions.

 

Qui ne peut pas présenter une demande

  • Les personnes à charge, à l’exception du conjoint de droit ou de fait

 

Qui est admissible

Le gouvernement du Canada analysera divers facteurs avant de décider si vous êtes admissible :

  • Êtes-vous un véritable visiteur au Canada?
  • Quitterez-vous volontairement le Canada à la fin de votre séjour?
  • Quels liens avez-vous avec votre pays d’origine?
  • Quel est l’objet de votre visite?
  • Quelle est votre situation familiale et financière?
  • Quel est le degré de stabilité économique et politique de votre pays d’origine?
  • Avez-vous été invité par un Canadien?

 

Conditions à remplir

 

Comment présenter une demande

*Vous pouvez demander un visa pour entrées multiples pouvant durer jusqu’à dix ans si vous payez les frais exigibles.

 

Avis aux visiteurs dispensés du Visa :

Si vous êtes le parent ou le grand-parent d’un citoyen ou d’un résident permanent du Canada et votre citoyenneté vous dispense de l’obligation d’obtenir un visa de visiteur pour entrer au Canada, vous avez tout de même droit aux avantages qu’offre le super visa pour parents et grands-parents.

Si vous souhaitez avoir l’autorisation de faire un séjour de deux ans au Canada, veuillez vous reporter à la rubrique « Comment présenter une demande ».

Si votre demande est approuvée, vous recevrez une lettre que vous devrez présenter à un agent de l’Agence des services frontaliers du Canada à votre arrivée au Canada. Cet agent pourrait alors vous autoriser à séjourner au Canada pendant une période maximum de deux ans.

 

Pour obtenir de plus amples renseignements sur le super visa, veuillez consulter le site Web de Citoyenneté et Immigration Canada.

 

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