Trouver l’équilibre en matière d’assurance voyage

Tout ce que désirait le couple hivernant dans son assurance voyage était la tranquillité d’esprit, une assurance que si quelque chose arrivait, ils pourraient rentrer chez eux sans voir disparaître la totalité de leur fond de pension. Et s’ils devaient payer un peu plus pour « avoir ce qu’il y a de mieux », c’était ainsi.

Ils savaient qu’il existe de nombreux régimes qui promettent des « tarifs abordables », des prestations équivalent à 5 millions de dollars, même une couverture pour conditions préexistantes; alors pourquoi n’arriviez vous pas à en trouver un pour eux?

Heureusement, il s’agit d’un dilemne auxquels font rarement face les agents. Au cours des deux dernières décennies, les assureurs ont trouvé des façons de concevoir des produits pour répondre aux besoins de presque chaque personne. Cela n’a pas été facile, et parfois, des pages et des pages de questionnaires médicaux ont dû être remplies uniquement pour déterminer la bonne couverture pour ce client difficile à caser. Mais l’expansion des prestations, associée à des limites et à des exclusions prudentes, a permis à des milliers de candidats, qui se seraient autrement vus obligés de rester confinés chez eux, d’échapper aux cruels hivers nordiques et d’ajouter de belles années à leur vie. Ils n’auraient certainement pas été capables de le faire si tout ce dont ils avaient bénéficié comme couverture constituaient les faibles versements de leurs gouvernements provinciaux.

Toutefois, il reste encore des candidats, jeunes et moins jeunes, qui ne répondent pas aux critères d’admissibilité requis par les assureurs et qui sont contraints de rester chez eux ou qui voyagent sans protection : ceux qui ont reçu un diagnostic de maladie terminale ou de VIH/SIDA ou de cancers du poumon, du foie, du pancréas, des os ou qui ont subit une chirurgie  cardiaque il y a plus de 10 ans. Ce dernier point est particulièrement intéressant étant donné qu’il se base sur des études démontrant qu’après environ 10 ans, les effets bénéfiques des greffes ou des endoprothèses disparaissent et le facteur de risque pour cette population augmente.

Étant donné que davantage de types de produits sont introduits sur le marché de l’assurance voyage pour répondre aux besoins des candidats à plus haut risque, davantage de souscriptions médicales plus adaptées ainsi qu’une confiance accrue à l’égard des agents seront nécessaires pour aider leurs clients à prendre les bonnes décisions. Personne n’est gagnant lorsque la demande d’un client est refusée parce qu’il ou elle n’a pas compris les questions médicales dans la demande. (Enfin, peut-être que les médias les comprennent lorsqu’ils soulignent la « mesquinerie » de l’assureur.)

Un équilibre est nécessaire entre des demandes plus complètes et la capacité et la volonté des clients à les comprendre et à les remplir. L’élément déterminant pour atteindre cet équilibre peut très bien reposer sur l’interaction des agents avec les clients qui les aident à comprendre l’importance de prendre les bonnes décisions, en obtenant le régime le plus approprié pour leur client. Mais même à cela, il y existera toujours des personnes qui rentreront dans aucune case, dont la santé est trop fragile pour supporter le stress du voyage, et qui doivent savoir immédiatement que les risques pris en les assurant sont trop importants. Il s’agit là d’une grande responsabilité.

 

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